Au rez-de-chaussée du Salon Géo-Numérique, un lieu plutôt calme où se situent plusieurs expositions. Beaucoup de visiteurs passent, s’attardent, prennent le temps d’inspecter les différentes cartes et photos qui ornent les murs de la salle Mélusine. « C’est bien, c’est accueillant et on s’y plaît », se confie Christine.
Lorsque l’on monte les escaliers, changement de salle et changement d’ambiance. La salle L’Ormont, plus spacieuse, accueille des dizaines d’exposants. La plupart sont spécialistes de cartographies numériques. Au fond, une autre exposition géographique est installée. C’est là que Valentin terminait sa visite, après s’être baladé et avoir discuté avec plusieurs exposants. « C’est très sympathique. Le cadre permet d’échanger avec différents acteurs dont l’IGN. » Une ambiance lumineuse et parfois animée par les différentes conférences qui prennent place, au 1er étage, derrière leur rideau rouge. David, intervenant du festival, décrit son expérience : « C’est très bien, l’ambiance est bonne. Seul bémol, du point de vue d’un intervenant, c’était la taille de l’écran pour les conférences de cartographie. Mais l’espace est vraiment très agréable ».
L’espace Mitterrand a été et est encore pour quelques heures, le lieu où l’on peut repartir avec une cartographie souvenir, faite main.