Dernier jour pour rencontrer ou découvrir les auteurs passionnants présents au Salon du Livre ce dimanche. La plus grande librairie dédiée à la géographie au monde va bientôt plier bagages mais les festivaliers sont nombreux à avoir déniché leur(s) future(s) lecture(s).
Aujourd’hui en dédicaces, Anne-Solange Muis, lauréate du prix Amerigo-Vespucci pour son livre Une île pour elle, confie : « Ils sont nombreux a avoir acheté le livre sur le FIG ». Le dialogue avec son lectorat lui permet d’apprécier la compréhension de ses intentions d’écriture. Elle refuse cependant de se laisser influencer par le lecteur dans ses choix artistiques. « Au contraire, c’est intéressant que le livre ne soit pas consensuel ».
Aujourd’hui en dédicaces, Anne-Solange Muis, lauréate du prix Amerigo-Vespucci pour son livre Une île pour elle, confie : « Ils sont nombreux a avoir acheté le livre sur le FIG ». Le dialogue avec son lectorat lui permet d’apprécier la compréhension de ses intentions d’écriture. Elle refuse cependant de se laisser influencer par le lecteur dans ses choix artistiques. « Au contraire, c’est intéressant que le livre ne soit pas consensuel ».
A l’autre bout du chapiteau, Christian Grataloup, cartographe, rencontre ses confrères et dédicace ses atlas. L’un d’eux affirme : « Pour qu’une carte me parle, il faut que je puisse la comprendre immédiatement sans avoir lu les légendes ». Les cartes le fascinent, Sébastien a apporté ses œuvres, Grataloup observe le lutin de ce passionné. Les étudiants sont aussi à la recherche d’ouvrages pour approfondir leurs connaissances. Pérenne Sylvie présente son livre Âge d’orage à l’une d’elle. Plus tôt pendant le week-end, Céline Righi, dont elle admire le travail, a acheté l’un de ses romans. Les autrices entre elles aussi se conseillent. Ces moments de dédicaces sont l’occasion de faciliter le contact entre tous.
Le Salon s’anime fortement avant l’heure du déjeuner. On retrouve Thierry Jacquot ému en évoquant ses connaissances archéologiques des mondes celte et gallo-romain des Vosges devant une festivalière conquise. Un large sourire sur son visage, elle s’enthousiasme : « Il vient de me vendre son livre parfaitement ». Sur un autre stand, Gilles Laporte discute d’une chapelle et d’un domaine agricole avec un curieux qui semble bien connaître le lieu. Il se confie à l’auteur «je suis un lecteur fidèle de vos ouvrages ». Les rendez-vous se multiplieront dans la journée, les moments de dédicaces sont l’occasion de faciliter le contact entre tous.
Le Salon s’anime fortement avant l’heure du déjeuner. On retrouve Thierry Jacquot ému en évoquant ses connaissances archéologiques des mondes celte et gallo-romain des Vosges devant une festivalière conquise. Un large sourire sur son visage, elle s’enthousiasme : « Il vient de me vendre son livre parfaitement ». Sur un autre stand, Gilles Laporte discute d’une chapelle et d’un domaine agricole avec un curieux qui semble bien connaître le lieu. Il se confie à l’auteur «je suis un lecteur fidèle de vos ouvrages ». Les rendez-vous se multiplieront dans la journée, les moments de dédicaces sont l’occasion de faciliter le contact entre tous.
