Violaine Huisman est née en 1979. Elle a vécu vingt ans à New-York où elle organisait des festivals et des événements littéraires. Elle a aussi effectué plusieurs traductions de l’américain aux Éditions Allia, dont « Un crime parfait » de David Grann et « La Haine de la poésie » de Ben Lerner.
Son premier roman « Fugitive parce que reine » (Prix du roman Marie-Claire 2018, prix Françoise-Sagan 2018) est paru aux éditions Gallimard. Elle vit entre Arles et Paris.

« Fugitive parce que reine »
aux éditions Gallimard

« Rose désert »
aux éditions Gallimard

Laurent Hou, métisse eurasiatique né en 1986 dans les Hauts de France à Compiègne, est passionné par les arts visuels dès son enfance, avec une pratique régulière du dessin et de la peinture. Après des classes préparatoires de lettres modernes option géographie, il s’inscrit à l’université Paris I Sorbonne dans cette même discipline et se spécialise sur la Chine. Après l’obtention de son master dont le mémoire portait sur le séisme de Wenchuan (2008), il approfondit ses recherches en commençant une thèse en cotutelle entre Paris IV Sorbonne et l’université normale de Pékin. De 2010 à 2017 il passe l’essentiel de son temps en Chine. C'est là qu’il devient photographe en 2013, avec un apprentissage au contact de différents photographes établis, notamment les correspondants de la presse internationale. La censure brutale de sa thèse de géographie en 2014 le fait intégralement basculer dans la photographie.
Sa pratique photographique comporte deux versants différents. D’une part il renoue avec son attrait pour les arts plastiques en créant des projets marqués par une forte approche esthétique, des collaborations avec d’autres artistes ou le recours à des techniques mixtes. D’autre part, dans le prolongement de ses études géographiques et de son apprentissage auprès de photojournalistes, il travaille sur des sujets documentaires et intègre le collectif Eyes on China Project en 2016. C’est ainsi tout naturellement qu’il transforme sa thèse avortée en projet photographique, retournant chaque année dans la ville de Beichuan, avec un dernier voyage en 2018.  En 2017, Laurent Hou part pour le Maroc où il poursuit mon activité de photographe, dirigeant notamment un projet documentaire pour la fondation culturelle l’Uzine. En 2019 il rejoint le studio Hans Lucas. Il se réinstalle entre Paris et Compiègne en 2020. 

Vincent Doumeizel est conseiller pour les océans au Pacte mondial des Nations unies. Il a rédigé, en collaboration avec les grands partenaires institutionnels, industriels et académiques du secteur, le Manifeste pour les algues présenté à l’ONU avant de fonder et codiriger, avec le CNRS, la première coalition mondiale des acteurs des algues, avec pour objectif de structurer la filière.

« La Révolution des algues »
aux éditions des Equateurs

Je suis né le 3 mai 1961 dans les montagnes du Jura, une région à la géologie calcaire, faite de torrents, de lacs, de forêts, d’escarpements et de grottes à laquelle je dois une partie de mon tempérament. J’ai sept ou huit ans lorsque mon grand-père me fait découvrir « le trésor du capitaine », des photographies du Grand Sud algérien, vues stéréoscopiques sur plaques de verre, prises à la fin du XIXème siècle par un arrière-grand-oncle parti le sabre au clair dans l’aventure coloniale. C’est une autre fenêtre qui s’ouvre sur le monde.
Deux ans plus tard, un chagrin d’enfance ancre la poésie dans ma vie. Viennent les premiers poèmes, puis les lectures fondatrices, la nécessité de tisser sa vie avec le fil des mots, l’envie du partage et de la transmission, des études de lettres, l’enseignement, la formation des maîtres, des publications critiques et pédagogiques –, nombreuses, trop nombreuses. En 2002, je quitte l’Éducation nationale pour prendre la direction des Éditions Seghers.
Huit ans plus tard, je fonde avec la romancière Murielle Szac, ma compagne, une maison d’édition vouée à la défense des poésies du monde et aux valeurs militantes qui m’animent. Plus que jamais, la poésie s’affirme comme un art de l’hospitalité, un voyage par lequel nous métissons nos héritages culturels et humains pour bâtir un nouvel art de vivre ensemble, une résistance qui conduit à la lumière. En dix ans, et quelque 200 livres, je fais entendre la voix de poètes venus de tous les horizons. Pour autant, je continue à être moi-même poète, et mon travail d’écriture s’enrichit également de nombreux romans, qui tous entendent redonner vie à des poètes ayant lutté contre les injustices et pour la fraternité.

« 22 - Bureau des longitudes » (poésie)
aux éditions Bruno Doucey

« Ne pleure pas sur la Grèce » (roman)
aux éditions Bruno Doucey

« Pablo Neruda, Non à l'humanité naufragée » (roman)
aux éditions Actes Sud Junior
Collection « Ceux qui ont dit non »

Je suis né le 3 mai 1961 dans les montagnes du Jura, une région à la géologie calcaire, faite de torrents, de lacs, de forêts, d’escarpements et de grottes à laquelle je dois une partie de mon tempérament. J’ai sept ou huit ans lorsque mon grand-père me fait découvrir « le trésor du capitaine », des photographies du Grand Sud algérien, vues stéréoscopiques sur plaques de verre, prises à la fin du XIXème siècle par un arrière-grand-oncle parti le sabre au clair dans l’aventure coloniale. C’est une autre fenêtre qui s’ouvre sur le monde.
Deux ans plus tard, un chagrin d’enfance ancre la poésie dans ma vie. Viennent les premiers poèmes, puis les lectures fondatrices, la nécessité de tisser sa vie avec le fil des mots, l’envie du partage et de la transmission, des études de lettres, l’enseignement, la formation des maîtres, des publications critiques et pédagogiques –, nombreuses, trop nombreuses. En 2002, je quitte l’Éducation nationale pour prendre la direction des Éditions Seghers.
Huit ans plus tard, je fonde avec la romancière Murielle Szac, ma compagne, une maison d’édition vouée à la défense des poésies du monde et aux valeurs militantes qui m’animent. Plus que jamais, la poésie s’affirme comme un art de l’hospitalité, un voyage par lequel nous métissons nos héritages culturels et humains pour bâtir un nouvel art de vivre ensemble, une résistance qui conduit à la lumière. En dix ans, et quelque 200 livres, je fais entendre la voix de poètes venus de tous les horizons. Pour autant, je continue à être moi-même poète, et mon travail d’écriture s’enrichit également de nombreux romans, qui tous entendent redonner vie à des poètes ayant lutté contre les injustices et pour la fraternité.

« 22 - Bureau des longitudes » (poésie)
aux éditions Bruno Doucey

« Ne pleure pas sur la Grèce » (roman)
aux éditions Bruno Doucey

« Pablo Neruda, Non à l'humanité naufragée » (roman)
aux éditions Actes Sud Junior
Collection « Ceux qui ont dit non »

Je suis né le 3 mai 1961 dans les montagnes du Jura, une région à la géologie calcaire, faite de torrents, de lacs, de forêts, d’escarpements et de grottes à laquelle je dois une partie de mon tempérament. J’ai sept ou huit ans lorsque mon grand-père me fait découvrir « le trésor du capitaine », des photographies du Grand Sud algérien, vues stéréoscopiques sur plaques de verre, prises à la fin du XIXème siècle par un arrière-grand-oncle parti le sabre au clair dans l’aventure coloniale. C’est une autre fenêtre qui s’ouvre sur le monde.
Deux ans plus tard, un chagrin d’enfance ancre la poésie dans ma vie. Viennent les premiers poèmes, puis les lectures fondatrices, la nécessité de tisser sa vie avec le fil des mots, l’envie du partage et de la transmission, des études de lettres, l’enseignement, la formation des maîtres, des publications critiques et pédagogiques –, nombreuses, trop nombreuses. En 2002, je quitte l’Éducation nationale pour prendre la direction des Éditions Seghers.
Huit ans plus tard, je fonde avec la romancière Murielle Szac, ma compagne, une maison d’édition vouée à la défense des poésies du monde et aux valeurs militantes qui m’animent. Plus que jamais, la poésie s’affirme comme un art de l’hospitalité, un voyage par lequel nous métissons nos héritages culturels et humains pour bâtir un nouvel art de vivre ensemble, une résistance qui conduit à la lumière. En dix ans, et quelque 200 livres, je fais entendre la voix de poètes venus de tous les horizons. Pour autant, je continue à être moi-même poète, et mon travail d’écriture s’enrichit également de nombreux romans, qui tous entendent redonner vie à des poètes ayant lutté contre les injustices et pour la fraternité.

« 22 - Bureau des longitudes » (poésie)
aux éditions Bruno Doucey

« Ne pleure pas sur la Grèce » (roman)
aux éditions Bruno Doucey

« Pablo Neruda, Non à l'humanité naufragée » (roman)
aux éditions Actes Sud Junior
Collection « Ceux qui ont dit non »

« La question du Home Rule (1870-1914) »
aux éditions Ellipses

« La question du Home Rule (1870-1914) »
aux éditions Ellipses

Damien Deville est géographe et anthropologue de la nature, enseignant à l'Université catholique de l'Ouest. Il cultive une pensée qui cherche à dynamiter l'individualisme et l'anthropocentrisme en repensant le lien à l'autre. Franco-burkinabé, ses expériences en Afrique de l'Ouest éclairent son présent en Occident.

En parallèle de ses recherches, il copréside la fédération de l'Archipel des alizées. Il est l'auteur de « Toutes les couleurs de la Terre » aux éditions Tana et Entendre la Terre aux éditions du Pommier.

« L’homme qui arrêta le désert »
aux éditions Tana

« Entendre la Terre - A l’écoute des milieux humains avec Damien Deville »
aux éditions Le Pommier