Accessible, simple et directe, Isabelle Autissier, grand témoin du FIG 2020, et, tout aussi sincère, Vincent Munier, photographe animalier, ont trouvé salle comble dimanche matin à l’Hôtel de Ville pour une rencontre orchestrée dans le cadre du FIG.
C’est un fait avéré en France, le climat en ville n’est pas le même que celui à la campagne. Durant une heure, Malika Madelin, enseignante chercheuse, Salem Dahech, professeur à l’Université de Paris et Vincent Dubreuil, professeur à l’Université de Rennes vont expliquer ce phénomène via les études qu’ils ont réalisées.
L'Espace des Arts Plastiques CEPAGRAP de Saint-Dié-des-Vosges accueillait ce dimanche 4 octobre Sandrine Collette pour un petit-déjeuner littéraire.
Les forêts du massif des Vosges sont en souffrance, victimes (elles-aussi) d’une crise sanitaire majeure. Le mal s’appelle évolution du climat, sécheresse, insectes invasifs…
L’effondrement du monde est un sujet qui inspire de nombreux auteurs. Le roman de Sandrine Collette «Et toujours les forêts» qui a reçu le prix Amerigo-Vespucci ce week-end en est le parfait exemple.
Jean-Paul Sartre et Albert Camus, qu’ont-ils donc en commun ? La météorologie ! Le premier s’y est plongé pendant son service militaire et pendant la guerre ; le second était assistant et «climatologue».
Définir le climat n’est pas une chose simple. Car s’il faut bien sûr établir le lieu, il convient de ne pas omettre les critères de temps.
31 ans après sa création, le FIG a su se réinventer et composer avec les nouvelles normes sanitaires. Malgré une matinée humide, le public a été au rendez-vous ce samedi 3 octobre.
Une bonne cinquantaine de personnes s’est montrée intéressée par le Café géographique organisé samedi soir au Bar Sept’un Café où Marc Dufumier, professeur honoraire AgroParis Tech, et Gilles Fumey, professeur Sorbonne université...